lundi 29 juin 2015

Jour 4 - Lundi 22/06 - de San Francisco à San Simeon

Aujourd'hui on fait de la route, départ de bonne heure, un dernier passage par le Golden Gate et puis on attaque la Highway n°1, réputée comme étant une des plus belle route de monde, direction le sud et Los Angeles que nous n'atteinfrons que demain puisque ce soir nous dormons à San Simeon situé à mis chemin.

La route est effectivement très jolie et très surprenante, le relief est assez escarpé, le début alterne entre falaises et plages de sable et du coup on s'arrete à chaque nouvelle sortie de virage pour prendre des photos.




Arrivés à Monterrey nous nous arretons pour déjeuner rapidement et ensuite nous visitons un super bel aquarium orienté sur le milieu marin des environs.





Puis nous reprenons la route qui est encore plus surprenante, en fonction du coté où l'on regarde on se croit dans des lieux complètements différents, à droite l'océan, les plages et les falaises, à gauche un paysage de montagne, chalets, sapins et brouillard...

La route prend de la hauteur et bien que sinueuse elle est très large et par endroit on passe sur de grands ponts qui enjambent des criques que l'on devine en dessous cachées par la végétation ou par l'apic de la falaise.






Au détour d'un virage, nous sommes arrivés au Julia Pfeiffer Burns State Park. C'est un pan de montagne qui dans les années 1900 appartenait à un riche couple qui y avait fait construire une villa accessible depuis la route par un téléphérique. A leur mort ils ont fait don de ce terrain et de la maison à l'état de Californie. Qui a aménagé le terrain mais n'a rien pu faire de la maison dont aujourd'hui il ne reste que les fondations. Ce parc est surtout interressant pour un point de vue sur une magnifique et malheureusement inaccessible crique que l'on peut découvrir après une courte marche.


En plus d'etre belle, ce qui fait la renomée de cette crique c'est la chute d'eau de 25m (que l'on ne voit pas forcément bien sur la photo, désolé...) qui tombe directement dans la mer.

Lorsque la maison existait, voici ce que l'on pouvait voir de la chambre


et de la terrasse du salon


pas mal non ?

A plusieurs reprises lors de nos arrets, nous avons entendu les cris des otaries sans pouvoir les voir. Puis, un peu avant notre étape du soir, nous les avons enfin vues sur une plage en bord de route et aménagée pour les observer.




Ce fut une belle journée.

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